- Nymphoplastie ou réduction de l’excès des petites lèvres vaginales par technique triangulaire
- Nymphoplastie pour réduction des lèvres vaginales avec une technique longitudinale classique
- Réduction du clitoris ou clitoridoplastie pour hypertrophie du clitoris
Les photos illustrent des cas cliniques avant/après de chirurgie esthétique et plastique. Les mêmes patients y figurent pour le avant/après et aucun résultat n’a été modifié à l’aide d’un logiciel de retouche. Le résultat observé est propre à chaque patient et un résultat identique ne peut être que difficilement être attendu pour une autre personne, en raison de la propre individualité de chacun. Ces résultats sont publiés avec accord, non reproductibles, non retouchés et réels. Les photographies sont essentielles pour illustrer les textes d’information médicale présents sur ce site et ne constituent une publicité mais une simple illustration des articles.
Les principales techniques de chirurgie intime en pratique sont la nymphoplastie de réduction, les reconstructions d’hymen, les vaginoplasties, les plasties cliroridiennes. La nymphoplastie de réduction consiste à réduire les petites lèvres génitales lorsqu’elles sont trop longues et entrainent une gêne fonctionnelle. On retrouve principalement une gêne au sport (vélo), lors des rapports, à l’habillement. L’intervention qui consiste à réduire les petites lèvres se déroule en ambulatoire sous anesthésie générale avec des suites opératoires habituellement simples.
L’hyménoplastie ou reconstruction de l’hymen est souvent demandée après un épisode d’agression sexuelle avec rapport non consenti. L’hymen peut être reconstruit par des sutures simples reliants le reliquats hyménaux. L’intervention se déroule sous anesthésie locale avec des suites opératoires rapides.
Les vaginoplasties sont réalisées souvent dans un contexte de post partum c’est à dire après accouchement avec un vagin trop large entrainant une béance et une gêne aux rapports. On peut soit utiliser des techniques de réduction muqueuse avec plasties longitudinales internes soit des techniques de transfert de graisse ou lipofilling. Parfois des techniques plus lourdes avec plastie musculaire sont adaptées.
Les plasties de réduction du clitoris ou clitoridoplastie sont utilisées en pratique chez des patientes ayant pris des stéroides pour se muscler. Cette pratique est strictement interdite et entraine des problèmes de santé majeurs. Le clitoris peut se retrouver hypertrophié avec parfois des organes atteignants 6 voire plus cm. Parfois certains cas sont secondaires à des malformations ou des tumeurs locales. certaines maladies endocriniennes peuvent également être responsable de la majoration de taille du clitoris. Le risque majeur de ces opérations réside dans l’atteinte des nerfs et en une perte de sensibilité de la région.
Enfin la reconstruction après excision est fréquente. Le clitoris est parfois recouvert par le capuchon voire réellement amputé dans sa portion externe. Des techniques de reconstruction existent et peuvent être mise en place.
La chirurgie intime intéresse également le domaine des chirurgies dites transgenre (« changement de sexe »). Les vaginoplasties ou phalloplasties réalisées le sont toujours dans un contexte de prise en charge pluridisciplinaire de la transidentité. Toutes ces interventions de chirurgie plastique nécessite de faire appel à une équipe et un chirurgien plasticien entrainé à ce genre de techniques opératoires très spécialisées. Le Dr Masson fait partie des spécialistes du domaine de la chirurgie intime.
Les hommes font également appel à ces techniques chirurgicales, les interventions les plus fréquentes sont l’allongement de la verge et l’élargissement pour luter contre le syndrome du vestiaire. La section du ligament suspenseur de la verge est la technique la plus habituelle pour gagner en longueur alors que le lipofilling permet en injectant de la graisse d’augmenter l’épaisseur c’est à dire le diamètre du pénis. On réalise parfois des plastie de réduction du scrotum (lifting des testicules) en cas de sac scrotal relaché avec testicules lourds et tombants qui peuvent entrainer une réelle gène fonctionnelle.